Le saviez-vous?
Les hydrofuges pour le béton et la maçonnerie sont
d'apparition relativement récente sur le marché. Les
propriétés
d'imperméabilité à l'eau et de perméabilité à la
vapeur des traitements réalisés à l'aide de ces produits
ont laissé entrevoir des possibilités d'utilisation importantes
répondant à un besoin réel dans le
secteur du bâtiment.
Malheureusement,
le manque d'information et une certaine inexpérience des praticiens
ont provoqué de
nombreuses utilisations fautives ou inadaptées
discréditant l'ensemble des traitements hydrofuges.
Depuis quelques
années, les travaux de rénovation et/ou d'entretien des façades,
entrainaient un besoin sans cesse grandissant des produits
hydrofuges et provoquait par conséquent la multiplication des formules
proposées
sur le marché.
Si ce phénomène était de nature à satisfaire
les fabricants, l’architecte par contre restait peu informé techniquement
et sa perplexité augmentait devant la diversité des produits
proposés.
C’est la raison qui a incité le CNRC (Centre
National de Recherche du Canada) à mettre un terme au chaos qui existait
dans le domaine des hydrofuges, en définissant les critères
de performances ainsi que les normes à respecter pour qu’un
hydrofuge soit approuvé par l’IRC (Institut de Recherche en
Construction) et inscrit dans le Recueuil d’évaluation des
Matériaux
de Construction du Canada, section no 70191:
Hydrofuge d’imprégnation pour
les surfaces en béton et en maçonnerie.
Avec la venu du premier
hydrofuge à respecter les normes du CNRC section 70191, le rôle
d’un hydrofuge ne se limite plus maintenant à une protection
contre l’eau mais également une protection contre les gaz
(pollution
atmosphérique)
ainsi qu’une protection contre les graffiti.
Ce tout nouveau masterformat,
no 70191, définit avec précision les nouveaux critères
pour qu’un produit imperméabilisant soit accepté par
le code canadien de la construction comme protection hydrofuge.
C’est en respectant tous ces critères que l’hydrofuge
Graftex® numéro CCMC 13023-R est devenu depuis juin 2002,
le premier hydrofuge et la première protection contre les graffiti
approuvé par
le CNRC, inscrit dans le recueil d’évaluation des matériaux
du IRC et approuvé par la SCHL.
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